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Phares de plongée Tek : puissance, autonomie et fiabilité
Plongées profondes, longues décos, épaves ou grottes : en Tek, votre phare devient un outil de sécurité. Choisir un phare de plongée Tek, ce n’est pas simple. Il y a autant d’options, de configurations et d’avis… que de plongeurs ! Entre les puissances, les types de faisceaux, les batteries, les fixations et les marques, faire le bon choix peut vite devenir un vrai casse-tête. C’est justement pour ça qu’on vous guide ici, point par point, pour y voir plus clair et trouver le phare qui correspond réellement à votre pratique.
Pourquoi un phare Tek n’est pas un phare classique ?
Un phare Tek n’est pas un phare classique car il est conçu pour répondre aux exigences extrêmes de la plongée technique. Il offre une puissance lumineuse bien supérieure, une autonomie prolongée grâce à une batterie déportée, et une construction ultra-robuste pour résister aux grandes profondeurs. Son faisceau concentré, ses commandes ergonomiques et ses fixations techniques (poignée Goodman, harnais) en font un outil indispensable pour les explorations en grotte, épave ou profonde. Contrairement aux phares classiques, il s’intègre dans une configuration pensée pour la sécurité maximale et la fiabilité dans toutes les conditions.
Comment choisir son phare Tek ?
Définir sa pratique
Plongée souterraine : faisceau très concentré, longue autonomie.
Épaves profondes : puissance importante, autonomie fiable.
Plongées de nuit : faisceau plus large, confort visuel.
Choisir la bonne puissance
2000–4000 lumens : suffisant pour la plupart des plongées Tek.
4000–8000 lumens : idéal pour milieux sombres ou très techniques.
8000+ lumens : réservé aux environnements extrêmes ou à la vidéo.
Privilégier une bonne autonomie
Viser au moins 2 fois la durée de plongée prévue.
Batterie déportée (canister) souvent plus performante.
L’autonomie est un facteur de sécurité essentiel.
Sélectionner le bon type de faisceau
Faisceau étroit (6°–10°) : pour percer l’obscurité et signaler.
Faisceau réglable : plus de flexibilité selon les situations.
Un bon faisceau = meilleure communication sous l’eau.
Évaluer l’ergonomie
Poignée Goodman ou poignée souple : mains libres et confort.
Interrupteur adapté aux gants (rotatif, magnétique, à pression).
Placement du câble à adapter à votre configuration (Sidemount, backmount...).
Vérifier la robustesse du matériel
Matériaux : aluminium, Delrin ou inox recommandés.
Résistance aux chocs et à la pression : indispensable.
Un phare Tek doit survivre à toutes les conditions.
Quelle est la bonne puissance pour un phare Tek ?
Quelle puissance choisir pour un phare Tek ?
De 2000 à 4000 lumens : suffisant pour la majorité des plongées techniques (épaves, mer, lac, nuit).
De 4000 à 8000 lumens : recommandé pour les plongées souterraines, profondes ou en eaux très chargées.
8000 lumens et plus : utile dans des environnements extrêmes, ou si vous avez besoin d’un faisceau très puissant pour guider, filmer ou éclairer de larges zones.
Mais la puissance ne fait pas tout !
Le type de faisceau : étroit pour percer l’obscurité, large pour une couverture visuelle plus douce.
La qualité de l’éclairage : température de couleur, homogénéité du faisceau, absence de point chaud.
L’autonomie : un phare très puissant qui s’éteint au bout de 30 minutes ne suffit pas en plongée Tek.
L’objectif : un phare équilibré entre puissance, autonomie et confort d’utilisation, adapté à votre environnement de plongée. à 6000 lm pour les plongées longues ou profondes.
Est-ce que tous les phares Tek sont en canister ?
Non, tous les phares Tek ne sont pas en canister, mais beaucoup le sont — et ce n’est pas un hasard.
Phare avec canister (batterie déportée)
C’est le format le plus courant en plongée Tek, surtout pour les plongées longues ou profondes.
Il permet une plus grande autonomie sans alourdir la tête du phare.
Le canister se fixe à la ceinture ou à la plaque dorsale, ce qui équilibre la configuration.
Idéal pour les plongées en grotte, en épave ou en circuit fermé.
Phare sans canister (batterie intégrée)
De plus en plus de modèles puissants existent avec batterie intégrée.
Ils sont plus compacts et simples à utiliser, parfaits pour la plongée Tek légère ou en loisir avancé.
Autonomie plus limitée, mais suffisante pour des plongées d’1h à 2h.
Conclusion
Le canister n’est pas une obligation, mais reste souvent le choix privilégié pour les plongées longues, techniques ou complexes.
À l’inverse, les phares sans canister sont intéressants pour ceux qui veulent gagner en simplicité sans sacrifier la performance.
Peut-on utiliser un phare Tek en sidemount ?
Oui, un phare Tek peut tout à fait être utilisé en configuration sidemount, à condition qu’il soit bien adapté.
Ce qu’il faut vérifier :
Position du câble : le câble doit sortir du bon côté (souvent à droite) pour s’intégrer proprement à votre harnais sidemount.
Fixation du canister : il doit pouvoir se fixer horizontalement à la ceinture ou verticalement sur un harnais. Certains modèles sont spécialement pensés pour le sidemount.
Poignée Goodman ou soft handle : indispensables pour garder les mains libres.
Bon à savoir :
De nombreux plongeurs en sidemount utilisent les mêmes phares que ceux en backmount.
Il existe aussi des phares compacts sans canister, pratiques en sidemount pour les plongées plus courtes ou moins engagées.
Conclusion
Un phare Tek bien choisi et bien configuré fonctionne parfaitement en sidemount. L’essentiel, c’est l’ergonomie, la fiabilité… et une intégration propre à votre équipement.
